Le changement climatique et la préservation de la biodiversité sont des défis au cœur des préoccupations actuelles, face auxquels de nombreuses initiatives et activités sont porteuses de solutions, dans les domaines de l’énergie, de l’environnement, de la construction durable, des déchets, ou encore des mobilités. C’est dans ce cadre que les « filières vertes et bleues » de Nouvelle-Aquitaine sont en plein essor et offrent de belles possibilités de mobilité professionnelle ou de création d’activité. Ici, la transition écologique et énergétique est en marche, et nous vous proposons de découvrir toutes les opportunités qu’elle offre dans ce nouveau dossier !
La transition écologique en Nouvelle-Aquitaine
L’importance des espaces naturels en Nouvelle-Aquitaine, en fait une région très concernée par les enjeux environnementaux et climatiques. Le territoire et ses nombreux acteurs ont donc adopté des objectifs ambitieux et se mobilisent pour les atteindre. Ainsi, d’ici 2030, la Nouvelle-Aquitaine entend réduire de 45% ses émissions de gaz à effet de serre et de 30% ses consommations d’énergie, tout en augmentant sa production d’énergies renouvelables de 40% ! Pour y parvenir, la région a mis l’accent sur le développement des filières vertes et des métiers de l’environnement, offrant par la même occasion de nombreuses opportunités pour ceux qui souhaitent s’y engager. On trouve ainsi en Nouvelle-Aquitaine une grande partie des 19 filières vertes identifiées par le Commissariat Général au Développement Durable (CGDD) dont les énergies renouvelables, le stockage d’énergie la gestion des réseaux d’énergie, de l’eau et des déchets, la chimie verte, l’économie circulaire, le bâtiment durable, la gestion et la protection de l’environnement, la ville durable ou encore la mobilité durable. Plusieurs démarches transversales ont également émergées, tant en faveur de la croissance bleue (l’ensemble des activités liées à l’océan) que de l’éco-conception (produits biosourcés, …) ou de l’économie circulaire.
Les filières vertes en plein essor
En Nouvelle-Aquitaine, de nombreuses actions concrètes sont initiées dans les territoires, représentant plus de 160 millions d’euros qui seront investis dans 4 prochaines années dans les domaines de :
- l’énergie et l’économie verte et circulaire (62%)
- l’agriculture et alimentation (14 %)
- l’eau, la nature et la biodiversité et les services aux territoires et citoyens (14 %)
- les mobilités et l’aménagement (10 %)
Le stockage d’énergie et la construction durable sont les deux filières les plus représentées dans la région – avec celles de la filière bleue (liée à l’eau) -, parmi les différents domaines liés aux métiers de l’environnement. Notamment, au sein d’une filière pour la mobilité électrique qui se dessine en Europe, la Nouvelle-Aquitaine dispose de tous les atouts pour devenir un territoire industriel de niveau international en matière de stockage stationnaire et de stockage d’énergie pour les marchés de la mobilité. A l’heure actuelle, la Nouvelle-Aquitaine compte 68 000 emplois dans l’énergie et le stockage. Pour ce qui concerne la filière de la mobilité verte, la gamme de bus 100% électrique d’Heuliez Bus, le GX ELEC, fait par exemple partie des productions de la région. Les innovations technologiques telles que le Safran Helicopter Engines, avec un système de propulsion distribuée hybride électrique, ou le Cassio, avion hybride électrique, émanent aussi du territoire aquitain (respectivement à Pau et Royan). Autre exemple : le parc d’activités AMPeRIS, à Pessac juste à côté de Bordeaux, doit ouvrir sur le territoire une véritable « lithium valley » européenne, avec 9.000 m2 de bureaux, ateliers, laboratoires, centres de R&D pour accueillir des PME et PMI dans le domaine de l’énergie. D’autres initiatives se développent, autour du biogaz (implantation de stations, infrastructures de production, nouvelles flottes de véhicules, …) et de l’hydrogène notamment. Cette dernière énergie a même fait l’objet d’une « Feuille de route Hydrogène » à l’échelle de la région.
La Nouvelle-Aquitaine dispose en outre du plus grand parc européen pour les énergies solaires, ainsi que de 1700 MW en gisement de production via les énergies marines renouvelables. Il faut savoir que 20% des besoins énergétiques de la région sont déjà couverts par les énergies renouvelables (5 points au-dessus de la moyenne nationale), et que la région a le potentiel d’être autonome en gaz vert à l’horizon 2050. L’éolien maritime a lui aussi le vent en poupe comme en atteste le futur projet de parc éolien maritime au large de l’île d’Oléron. Ce projet qui prévoit l’installation de 50 à 80 éoliennes devrait permettre de produire de l’électricité pour 1,2 million d’habitants. Une formidable opportunité économique aussi, puisque le projet devrait générer 400 à 600 emplois lors de sa construction et entre 50 et 100 lors de sa maintenance.
La centrale thermique Newheat à Condat-sur-Vézère (Dordogne)
©Région Nouvelle-Aquitaine
Les acteurs de la transition en Nouvelle-Aquitaine
Plusieurs clusters et pôles de compétitivité, des entreprises à fort potentiel ou leaders dans leur domaine, des plateformes d’innovation, des laboratoires de recherche et des centres de transfert technologiques sont présents sur le territoire pour accueillir les candidats potentiels ou accompagner les entreprises dans leur essor. Parmis eux, le cluster Odéys accompagne les acteurs de la construction et de l’aménagement durable, tandis que le cluster Énergies & Stockage mobilise les acteurs régionaux pour accélérer la transition énergétique sur le territoire et que le pôle de compétitivité Avénia, seul pôle de compétitivité français dans le domaine des filières du sous-sol, anime et fédère un réseau de plus de 200 adhérents. Le réseau SOLTENA (Solutions pour la Transition Écologique Nouvelle-Aquitaine) réunit pour sa part près de 250 acteurs régionaux qui développent des produits, déploient des services, mettent en œuvre des coopérations, pour accompagner la transition écologique. Pour accompagner les porteurs de projets, le réseau propose une offre d’ingénierie financière, la mobilisation de son réseau d’experts, la mise en place d’ateliers de travail collectif, l’aide à la construction d’un plan d’actions individualisé et un appui personnalisé à la mise en œuvre des actions.
De plus, les contrats de transition écologique (CTE) associent les collectivités et les acteurs économiques locaux autour de projets concrets de développement ou de reconversion écologique des territoires. Ils visent à faire de certains territoires des démonstrateurs d’une mutation écologique axée sur l’emploi et les entreprises. Le département de la Corrèze, la Communauté d’agglomérations de Rochefort Océan (Charente Maritime), le SCOT du Bergeracois (Dordogne), le Val de Garonne (Lot et Garonne), la Communauté d’agglomérations Pau Béarn Pyrénées (Pyrénées Atlantiques) figurent – avec d’autres territoires – parmi les neuf contrats de transition signés en 2019 ou 2020 en Nouvelle-Aquitaine.
Des laboratoires de pointe au service des entreprises
Trois grands laboratoires travaillent dans la région à l’intégration des enjeux de respect de l’environnement dans l’activité de différents secteurs. Le Groupe d’Étude des Matériaux Hétérogènes (GEMH) de l’Université de Limoges, sur le site d’Egletons, poursuit des recherches sur la durabilité des matériaux et structures dont les matériaux bitumineux, le bois, les matériaux recyclés et biosourcés du génie-civil. Au sein de la même université, le laboratoire E2Lim rassemble des chimistes, des biologistes végétalistes, des microbiologistes et des géologues autour des contaminations de l’environnement par les micropolluants organiques et inorganiques et les solutions de gestion et de traitements pouvant être mises en place pour améliorer la qualité des milieux.
Toujours à l’université de Limoges, le LCSN (Laboratoire de Chimie des Substances Naturelles) est une structure qui fédère les activités complémentaires de chimistes, biochimistes, pharmaciens, microbiologistes et physiologistes intéressés par les substances naturelles et leurs valorisations.
Plusieurs plateformes technologiques, comme le site technopolitain d’Arkinova à Anglet, contribuent également au développement des entreprises « vertes » grâce à des plateaux techniques de pointe. Nobatek à Anglet pour la construction et l’aménagement durable, CEA TECH à Pessac à pour l’énergie solaire, l’hydrogène et les hydrocarburants ; FCBA (Institut technologique Forêt, Cellulose, Bois-Construction, Ameublement) pour le pôle Bois Construction à Bordeaux, ou encore APESA, Centre technologique au service des transitions basé à Tarnos, Lescar et Pau, font partie de la dizaine de pôles d’excellence répartis sur l’ensemble du territoire néo-aquitain.
Hall technologique Aquacole
©Région Nouvelle Aquitaine
Le biomimétisme , une démarche d’avenir pour les entreprises innovantes
Le biomimétisme est une démarche qui consiste à s’inspirer de la nature pour créer des produits innovants et durables. Ce type d’innovation possède un fort potentiel de développement d’activités et de marchés, et en Nouvelle-Aquitaine, 38 structures sont identifiées comme participant au développement du biomimétisme, dont 42 % sont des entreprises (les 58 % restants étant des universités, des clusters ou incubateurs, etc.). Les catégories d’innovation concernées sont les produits, les procédés, les principes de commercialisation et ceux d’organisation.
Quatre secteurs clés ont été identifiés dans lesquels de nombreuses innovations peuvent se développer : la chimie et les matériaux, qui représentent déjà 25 % des activités liées au biomimétisme ; l’habitat et le bâtiment (22 % des activités) ; l’agriculture ; la Croissance bleue (activités liées à l’océan, de la propulsion marine aux biotechnologies). C’est sur ce dernier champ qu’agit ADV TECH, start-up bordelaise fondée en 2012 et qui conçoit et commercialise une nouvelle technologie brevetée de rotor à cinématique biomimétique aux applications diverses (petit éolien pour les bateaux, hydrolien et propulsion nautique).
En partenariat avec le CEEBIOS, centre d’études et d’expertises dédié au déploiement du biomimétisme en France, la Région se montre aussi pionnière dans la mise en œuvre opérationnelle du biomimétisme sur son territoire, à l’image des initiatives déjà observées en Gironde et dans les Pyrénées-Atlantiques. Ainsi, l’entreprise Scyll’Agro à Orthez (64) met au point et commercialise des phéromones d’insectes pour l’agriculture. Dans le domaine marin, c’est en s’inspirant de l’algue rouge du pays Basque que les Laboratoires de Biarritz ont mis au point des protections solaires labellisées bio. A Bordeaux, le site de l’Ecosystème Darwin est le lieu d’une expérimentation d’agriculture urbaine (Zaué) développée en aquaponie (qui s’inspire des écosystèmes aquatiques). De nombreuses entreprises et structures associatives montrent ainsi une vitalité certaine dans les innovations appelées par le biomimétisme, et depuis 2019, plusieurs dispositifs de la Région Nouvelle-Aquitaine intègrent le biomimétisme dans les projets éligibles aux aides régionales
ADV Tech, start-up bordelaise, développe de nouvelles technologies de rotor
©Région Nouvelle Aquitaine
L’économie circulaire : le cercle vertueux des entreprises vertes
Inspirée elle aussi du fonctionnement des écosystèmes naturels, l’économie circulaire a pour objectif de produire des biens et des services économes en matières premières, tout en ayant un impact environnemental moindre par la réutilisation et le recyclage des ressources ou produits. En ce sens, le Réseau d’Économie Circulaire et d’Innovation de Nouvelle-Aquitaine (RECITA) est une plateforme collaborative qui vise à identifier les acteurs, les ressources, les initiatives liées à l’économie circulaire, ainsi qu’à favoriser leur mise en réseau sur le territoire, afin de créer un écosystème régional de l’économie circulaire. En décembre 2020, le réseau a mis à l’honneur trois innovations entrepreneuriales qui illustrent bien la dynamique actuellement à l’œuvre dans la région. Ainsi, BoxEaty propose un service complet incluant la fourniture, la logistique et le nettoyage de contenants alimentaires réutilisables pour les professionnels souhaitant remplacer leurs emballages à usage unique. Complément’R, pour sa part, utilise les techniques millénaires de la vannerie et/ou du pliage pour transformer les déchets en objets usuels, tout en recyclant le papier. PoEthic, enfin, produit un pot de fleur en compost qui une fois planté dans le sol se dégrade en libérant le compost et des éléments nutritifs.
De son côté, le conseil régional de Nouvelle-Aquitaine apporte aussi son aide aux entreprises, associations, collectivités territoriales et établissements publics du domaine de l’économie circulaire en accordant des subventions qui couvrent les frais de conseil et de faisabilité (à hauteur de 70 % des dépenses au maximum). Pour tout renseignement à ce sujet contacter le Service Relation aux Usagers de la Direction de l’environnement. Le conseil régional délivre en outre des subventions non négligeables pour les créateurs d’entreprise de l’économie circulaire (à l’exception des réemplois individuels de déchets et du marché des équipements roulants et/ou d’occasion).
Les étudiants du lycée professionnel agricoles de Fazanis, à Tonneins
©Région Nouvelle Aquitaine
Le poids de la filière de l’eau dans l’économie
Vous avez certainement entendu parler de la « croissance verte », mais connaissez-vous la croissance bleue ? Il ne s’agit pas d’une filière mais d’une démarche économique durable autour de l’océan. Avec une façade littorale diversifiée de plus de 900 km de long, la région dispose de toutes les richesses naturelles pour devenir un acteur maritime incontournable aux niveaux national et européen. L’océan est donc un atout majeur pour le développement de la Nouvelle-Aquitaine.
La croissance bleue : 11 filières économiques dynamiques
Près de 60 000 emplois ont déjà été créés et la tendance ne pourra que s’accentuer dans les années qui viennent grâce aux actions d’exploitation durable et raisonnée de ces ressources. Pour l’heure, 60 % de ces emplois concernent le secteur du tourisme, 18 % sont issus des produits de la mer, 9 % concernent les activités nautiques et 8 % le transport maritime et fluvial.
La démarche croissance bleue fédère onze filières régionales : la pêche et l’aquaculture marines ; les industries nautiques et navales ; la filière glisse (surf) ; le tourisme littoral ; les ports et infrastructures portuaires ; la protection et la surveillance du littoral ; les énergies marines renouvelables (EMR) ; les ressources biologiques marines ; les biotechnologies marines ; l’exploration des grands fonds marins et les plateformes offshore multi usage (POMU). Sa mission est de mettre en cohérence la diversité de ces activités, de créer des échanges entre acteurs, avec l’objectif d’un développement qui soit durable et respectueux de l’océan.
Métiers recherchés et formations disponibles
La Nouvelle-Aquitaine dispose d’une offre de formation tout à fait intéressante si vous souhaitez rejoindre la filière de l’eau : 4 pôles universitaires, 4 lycées maritimes et aquacoles et 3 stations côtières IFREMER à Arcachon, Anglet et La Rochelle. Parmi les métiers nécessaires à la croissance des biotechnologies on recense notamment ceux de cadre technique en recherche-développement, chargé d’études, animateur scientifique et conseiller scientifique.
D’autres domaines promettent aussi d’être particulièrement porteurs d’emplois, comme le navire du futur et les énergies marines renouvelables dont les sous filières (celle des courants, de la houle, de la thermique des mers, de l’éolien, du offshore flottant, des ancrages sous-marins, de la maintenance à bord…) se développent. D’ici 10 ans, 600 000 emplois supplémentaires devraient être créés en France, pour des centaines de métiers différents, selon le ministère du Travail.
Le cluster croissance bleue
Le cluster Croissance Bleue, créé en 2018, est un réseau fédérant tous les acteurs du maritime (institutionnels, chercheurs, entreprises, professionnels de la mer, instituts de formation…) autour d’objectifs communs et durables, afin de créer une dynamique cohérente créatrice de croissance, dans le respect de l’environnement. Il fédère une grande partie des acteurs des métiers liés à l’océan, en plus des structures accompagnant chaque filière. On y trouve des entreprises comme APIOMARINE, spécialisée dans l’extraction d’actifs de végétaux marins, notamment sur le Bassin d’Arcachon, par des procédés de chimie verte ou Energie de la Lune, un cabinet d’ingénierie spécialisé en Energies Marines Renouvelables et génie océanographique.
Plage de la Tremblade, Charente Maritime
©Région Nouvelle Aquitaine
Des initiatives pour soutenir vos projets
Le fond d’investissement Terra Energies
Terra Energies est un fonds d’investissement, initié par le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, qui soutient le développement des énergies renouvelables sur ce territoire. Constitué d’acteurs publics et privés, c’est un levier pour accompagner les acteurs de la région qui s’engagent dans la transition énergétique. Il soutient des projets à moyen et long terme. Parmi les projets soutenus dernièrement, on trouve par exemple une unité de méthanisation agricole à Combrand (dans les Deux-Sèvres), une centrale photovoltaïque au sol de grande puissance, composée de 40 000 panneaux solaires (12 MW), à Saint-Magne en Gironde, ou encore un projet éolien (équivalent de la consommation électrique de 13 000 habitants et 72 000 tonnes de CO2 économisées chaque année) à Millac dans la Vienne.
Appels à projets pour entreprises vertes et innovantes
Plusieurs organismes ou collectivités lancent régulièrement des appels à projets pour encourager les entreprises – émergentes ou installées – dans leur engagement en faveur de la transition écologique. Par exemple fin avril 2021 s’est clôturé le concours « Grand Prix de l’Innovation Construction Durable & Cadre de Vie 2021 » visant à « encourager les créateurs et à accompagner les jeunes entreprises dans leurs développements ». Ouvert à toutes les start-up et à tous les porteurs de projet innovant, il identifie et récompense depuis neuf ans les acteurs qui ont choisi de bousculer les conventions et de changer la manière de construire et d’envisager l’habitat de demain. Ce concours a lieu chaque année et l’entreprise lauréate se voit remettre une dotation de 60.000 €. Autre initiative intéressante, le concours Even’Up, un appel à projets innovants et responsables au service de l’agriculture et de l’alimentation comprenant un prix de 20.000 €
Le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine lance aussi régulièrement des appels à projets, qui peuvent également mobiliser des fonds européens. Ils sont consultable sur le site des aides développées par la Région. Enfin, la chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Nouvelle-Aquitaine s’est inspiré d’un outil numérique créé par les CCI de Poitou-Charente pour développer le site Eco-Entrepreneur afin d’accompagner et de promouvoir tous les éco-entrepreneurs de la région. Une initiative qui vise également toute entreprise initiant ou poursuivant une démarche de développement durable.
©Région Nouvelle Aquitaine
Inspiré par cet environnement naturel d’exception, pourquoi ne pas vous aussi contribuez à sa préservation ? Que vous souhaitiez œuvrez en faveur de la transition écologique et vous investir dans les filières vertes, celles de l’eau ou plus largement dans la démarche de la croissance bleue, les acteurs pour vous soutenir en Nouvelle-Aquitaine sont aussi nombreux que les dispositifs d’accompagnement. Notre dossier dédié à l’entrepreneuriat en Nouvelle-Aquitainevous donnera les clés supplémentaires pour vous lancer bien entouré ! Pensez également notre dossier général consacré à l’emploi dans ce département
Photo principale : Les forêts de Nouvelle-Aquitaine ©Région Nouvelle-Aquitaine
Réalisé en partenariat avec la Région Nouvelle-Aquitaine.
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